Anouk Grinberg a choisi de porter sur scène les lettres, très peu connues, que Rosa Luxemburg avait écrit à ses amis depuis la prison où elle était enfermée pour s’être opposée à la Guerre de 14-18. A travers ces textes, on découvre le visage insoupçonné de cette grande révolutionnaire : une femme étonnamment solaire, gaie, toute entière tournée vers la beauté des choses et pilotée par son goût du bonheur.