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Grand écart

De Stephan BELBER
Avec Thierry LHERMITTE,  Valérie KARSENTI, François FEROLETO

New York, aujourd’hui : la rencontre explosive, touchante et drôle, d’un vieux danseur excentrique et d’un étrange couple en quête de vérité. Une comédie fantaisiste qui, de surprise en surprise, nous dévoile les petits secrets d’une vie de danse, d’amour et de tricot …

Distribution : Thierry LHERMITTE,  François FEROLETO,  Valérie KARSENTI

Mise en scène : Benoît LAVIGNE

Décor : Laurence BRULEY

Lumière : Fabrice KEBOUR

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EMILIE JOLIE 2022

EMILIE JOLIE est une petite fille rêveuse. Un soir, elle imagine rejoindre les personnages de son livre d’image… le spectacle peut commencer !

Retrouvez la magie d’EMILIE JOLIE dans une mise en scène féérique, accompagnée d’un orchestre live.

Un conte musical imaginé et écrit par Philippe Chatel.

 

du 22/10/2022 au 20/11/2022

CASINO DE PARIS

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AL CAPONE

Un spectacle musical de Jean-Félix Lalanne.
Avec Robert Alagna, Anggun et Bruno Pelletier.
Mise en scène de Jean-Louis Grinda.

Chicago, 1930 : Défiant toutes les lois, Al Capone et Eliot Ness se livrent un combat sans merci… Jusqu’à ce qu’un coup de foudre inattendu efface en un instant toutes leurs querelles. Désormais, ils vont devoir choisir entre l’amour et leurs guerres…

Avec la troupe de Roberto Alagna, Anggun, Bruno Pelletier… accompagnée d’un orchestre live de 8 musiciens.

Du 28/01/2023 au 05/03/2023

Folies Bergère

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Anna

Le Projet

La comédie musicale Anna, œuvre particulièrement audacieuse dans le paysage audiovisuel des années 60, se fait remarquer par son extrême modernité. S’y mêlent le pop art et le cinéma de la nouvelle vague.
Se libérant des contraintes du carcan scénaristique qui fait la loi, Anna se présente comme une ôde débridée à l’amour « idéal », un poème à la fois loufoque et tragique,
Si l’esthétique de la mode anglaise des années 60 doit être aujourd’hui réinterrogée, l’impertinence  des dialogues,  le « baroque » de la dramaturgie et bien sûr la beauté des chansons, trouvent toujours un écho aujourd’hui.

Incontestablement cette œuvre est encore vivante, et la porter sur scène est un enjeu passionnant.

C’est le défi qu’a choisi de relever Emmanuel Daumas connu pour ses mises en scène au Théâtre de Toulouse et à la Comédie-Française.
Pour interpréter les deux protagonistes à la poursuite de l’amour idéal, il a obtenu l’accord enthousiaste de Cécile de France et de Grégoire Monsaingeon.
Pierre Rigal, auteurs de plusieurs spectacles présentés notamment à Lyon et lors d’un festival Rigal au Théâtre du Rond-Point, imaginera la chorégraphie de cette comédie musicale.
Les arrangements et les réorchestrations des chansons seront confiés à Guillaume Siron et Bruno Ralle principalement réputés pour leurs créations dans le groupe « Nouvelle vague ».
Après les spectacles Le Roi Lion et Mama mia, Philippe Gouadin assurera la direction musicale d’Anna.
La musique quant à elle sera exécutée sur scène par des musiciens qui participeront également en tant qu’acteurs au déroulement de l’histoire.

L’intention

Une factory 40 ans après… Un souvenir de l’esprit des années soixante ou un laboratoire high tech peuplé de jeunes arty ? Certains font de la musique en live. Un autre dessine de grands formats, ou de touts petits qu’il projette sur les murs de papier. D’autres chantent. Deux jolies filles s’amusent, fument, font les choristes, pausent pour des prises de vues en direct. Tous dansent. Sans en avoir tellement l’air.
Un garçon est fou amoureux d’une image. En 1967 c’était l’image d’Anna Karina. Elle trimbalait la joie mélancolique de la nouvelle vague.
Aujourd’hui c’est l’image de Cécile de France. Sur papier glacé, belle comme un fantasme, une icône. Suffisamment irréelle pour qu’on puisse projeter sur elle le Vrai Grand Amour.
Elle est là, mais il est trop préoccupé par son désir d’elle pour la voir. Entre la réalité et les songes, entre les dessins et les photos, la musique et le silence, elle brule d’envie d’une vie réelle, charnelle.

Rester aussi joyeusement moderne que le film l’était.
Anna est une œuvre emblématique de la fin des années 60. Mais pas de nostalgie. Donner un côté contemporain au son, tout en gardant l’esprit de Gainsbourg.
Il faut aller loin dans le faux semblant et le trompe l’oeil. Abreuvé d’images et de fantasmes narcissiques. Plus vraiment capables de démêler le vrai du faux.
En 2013, la conscience d’être englobé dans un monde virtuel est encore omniprésente.
Il faudra travailler avec des projections vidéo de dessins, d’images, de films d’animation. Des incrustations, des reflets, des miroirs sans teints, et en même temps d’immenses dessins réels qui peuvent en live figurer des décors. Profiter du fait que l’histoire se passe dans une boite de pub pour donner l’impression que tout se fabrique sur le moment. La musique comme les images.
Une création entre concert et performance, brouillant les pistes de la narration.
Une histoire d’amour-chassé-croisé, au sein d’un groupe d’acteurs musiciens plasticiens qui s’amusent à représenter une Anna contemporaine, en direct, pour nous.
Emmanuel Daumas

L’origine

Anna est le septième album de Serge Gainsbourg.
Seize titres dont le plus connu Sous le soleil exactement est ancrée dans les mémoires.
Cet album est la bande originale du téléfilm musical éponyme, écrit et réalisé par Pierre Koralnik, diamogues de Jean loup Dabadie.

En 1967, Anna, produit par l’ORTF, est diffusé sur la 1ère chaîne.
Anna Karina et Jean Claude Brialy incarnent les premiers rôles, Serge Gainsbourg lui-même interprète le troisième personnage.
Malgré son modeste statut de téléfilm, Anna devient un monument
de la culture 60’s. Il sera d’ailleurs présenté à l’ouverture du troisième Festival de Jeune Cinéma d’Hyères.

 

 

Le film Anna est téléchargeable sur le site de l’INA :
http://boutique.ina.fr/video/fictions-et-animations/telefilms-et-dramatiques/CPF86601283/anna.fr.html

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Arabesque – Jane Birkin

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Welcome to Woodstock

15/09/2017 au 06/01/2018

Site officiel : www.welcometowoodstock.com
Une production de Jean-Marc Ghanassia et Jérémy Delacharrière

De Jean-Marc Ghanassia
Chorégraphie Cécile Bon
Mise en scène Laurent Serrano
Direction musicale Philippe Gouadin
Avec Cléo Bigontina , Morgane Cabot , Benoit Chanez , Yann Destal , Magali Goblet , Jules Grison , Pierre Huntzinger , Margaux Maillet , Hubert Motteau , Geoffroy Peverelli, Xavier V.Combs

 

Soirée spéciale « Hippie » le 31 décembre : des chansons surprises pour passer le plus Peace & Love des réveillons… Et décompte festif de la nouvelle année avec toute la troupe. Venez en Hippies !

 

« Vivre sans temps mort »

Welcome to Woodstock est un spectacle musical tout entier consacré à la musique Pop-Rock américaine des années 65/70. Les plus belles et grandes chansons de cette époque y sont jouées et interprétées en live. C’est aussi un «revival» des années Hippies, ces années folles qui ont joyeusement renversé tous les vieux tabous de la morale d’après guerre. C’est à travers l’histoire des chanteurs/acteurs qui interprètent les chansons sur scène, que ce «revival» va s’incarner.

Paul, Corinne, Francis, Martine, Tom et Florence ont 20 ans en 1969. Ils se sont connus sur les bancs de la fac, l’année précédente et ont vécu ensemble les barricades de mai 68. Liés par la même volonté de construire une société plus libre, plus juste, plus égalitaire, en rupture avec la morale bourgeoise de leurs parents, ils partagent le même appartement à Paris et une passion commune pour la musique pop-rock américaine.

Lorsqu’ils apprennent qu’un grand concert, réunissant Canned Heat, Country Joe Mac Donald, Janis Joplin, Joan Baez, Jimmy Hendrix, Les Who et tous leurs artistes préférés aura lieu à Woodstock en août 1969, ils décident de partir aux États-Unis, « vivre sans temps mort et jouir sans entrave » pour 3 jours de paix et de musique…

50 ans après l’avènement de l’emblématique festival qui a marqué toute une génération, enfilez vos pattes d’éph’ et vos tuniques à fleurs et venez découvrir sur scène Welcome to Woodstock, le road-trip musical et psychédélique qui réinvente les années hippies. Avec Welcome to Woodstock, revivez les plus grands moments du festival ; expérimentez l’amour libre ; goûtez au plaisir défendu des paradis artificiels et renouez avec les valeurs d’une époque où l’amitié, l’amour, l’engagement ne se comptaient pas au nombre de « j’aime » sur une page Facebook. Welcome to Woodstock, le road trip musical rock et psychédélique.

Nommé aux Globes de Cristal dans la catégorie «meilleure comédie musicale».

 

La presse

« Very good trip (…) on est subjugué, voire fasciné. » Le Parisien

« Le public applaudit comme au concert. » Le Figaro

« Une formidable machine à remonter le temps. » JDD

« Bluffant, sidérant. » France Bleu

« Ils sont très très bons. » Télématin

« Le casting assure. » Europe 1

« Hip hippie hourra. » Gala

  • La note du metteur en scène

« Quand on entend « Woodstock », on pense toute de suite : fleurs dans les cheveux, « peace and love », amour libre et drogues en tout genre. Et effectivement, il y a tout cela dans Welcome to Woodstock ! Pourtant, derrière l’insouciance, pointe en filigrane la désillusion des idéaux…

Dans Welcome to Woodstock, pas de stéréotype éculé ! On sait être léger sans être creux et même, par instant, grave sans être sinistre. Et c’est d’ailleurs ce qui rend les personnages attachants. Ils ne sont pas construits d’un seul bloc, d’une seule couleur. Ils sont vrais, subtils et nuancés. Ils sont humains.

Welcome to Woodstock est un spectacle musical, qui privilégie l’interprétation et fait la part belle à la direction d’acteur. Le travail de mise en scène sur chaque chanson sera primordial. Dans plusieurs morceaux, les chanteurs-comédiens s’accompagneront eux-mêmes à la guitare. Il ne suffira pas de chanter, il faudra aussi interpréter. C’est faire le pari de l’artiste.

Mais n’allez pas croire que Welcome to Woodstock est un spectacle intimiste. C’est un « musical and psychedelic road trip show », comme son sous-titre l’indique. On quitte une chambre d’étudiant à Paris pour atteindre une inquiétante forêt de l’Etat de New-York, avant d’atterrir dans un saloon miteux et de rejoindre la plaine surpeuplée de Woodstock.

L’aventure américaine qu’entreprend notre bande de jeunes soixante-huitards bascule parfois dans un univers surnaturel, au détour d’une chanson, à la rencontre d’un nouveau personnage ou suite à la prise d’une petite pilule bleue (LSD)… Rêves, hallucinations et réalité ne cessent de se croiser.

Pour mettre en scène ces passages du réel à l’irréel, nous avons choisi d’utiliser différents modes d’écritures scéniques. Si j’emploie un « nous », c’est parce qu’il s’agit d’un travail d’équipe. Avec Jean Haas, le scénographe, Olivier Roset, le vidéaste et Jean-Luc Chanonat, aux lumières, nous nous sommes efforcés d’apporter une diversité visuelle au spectateur, afin de le surprendre tout au long du show.

Techniques « anciennes » (machinerie théâtrale) ou « modernes » (projection vidéo,…), l’objectif est d’employer celle qui va au mieux servir telle ou telle scène et en souligner les aspects magiques, ludiques ou poétiques. Lorsque Paul rêve de Tommy, l’opéra rock des Who, ce sont les personnages des affiches de Mai 68 accrochées au mur de sa chambre qui s’animent et deviennent les choristes. On utilisera aussi la vidéo projection. Lorsque la forêt devient psychédélique, les arbres s’animent, des hommes volants remplacent les oiseaux – cette fois-ci, nous serons sur de la machinerie. Pour ne donner que ces deux exemples…

Monter Welcome to Woodstock permet de revisiter cette époque qui trouve encore écho dans nos aspirations d’aujourd’hui. Ce petit côté Flower Power, ce besoin de liberté qui nous titille et titillera encore bien des générations, sera le petit vent qui soufflera tout au long du spectacle. Nous avons tous une part de Woodstock en nous. »

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Variations énigmatiques

Alain Delon et Francis Huster dans « Variations énigmatiques» d’Eric-Emmanuel Schmitt.
Un face-à-face théâtral qui attire les foules-.

Qui aime-t-on quand on aime ? Sait-on jamais qui est l’être aimé ? L’amour partagé n’est-il qu’un heureux malentendu ?

Autour de ces éternels mystères du sentiment amoureux, deux hommes s’affrontent : Abel Znorko, prix Nobel de littérature qui vit loin des hommes sur une île perdue de la mer de Norvège où il ressasse sa passion pour une femme avec laquelle il a échangé une longue correspondance, et Erik Larsen, journaliste qui a pris prétexte d’une interview pour rencontrer l’écrivain.

Mais pour quel motif inavoué ? Quel est son lien secret avec cette femme dont Znorko se dit encore amoureux ? Et pourquoi un tel misanthrope a-t-il accepté de le recevoir ?

L’entrevue se transforme vite en un jeu de la vérité cruel et sinueux, rythmé par une cascade de révélations que chacun assène à l’autre au fil d’un suspense savamment distillé.

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Un Picasso

De Jeffrey Hatcher
Adaptation de Véronique Kientzy
Mise en scène de Anne Bouvier

Avec Jean-Pierre Bouvier et Sylvia Roux

Studio Hébertot à partir du 22/11/2018 au 3 mars 2019
Festival d’Avignon Off du 5 au 28 juillet 2019
En tournée entre janvier et mai 2020
Un Picasso – 3 autoportraits nous dévoilent des aspects méconnus de la vie de Picasso : enfance, amitié avec Apollinaire et des clés sur Guernica… Quelle attitude doit avoir l’artiste face aux régimes totalitaires ? Ceux qui brûlent les œuvres ou larguent les bombes… Le tout face aux nazis, dans un jeu de chat et souris où on ignore qui domine qui entre la femme et le génie…

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Tout contre

Création à Paris – Théâtre Fontaine
(3 nominations aux Molières) (1998)
Mise en scène Patrice Kerbrat
Décors Edouard Laug, costumes Valérie Delafosse.
Avec : Anne Brochet, Gad Elmaleh, Caroline Sihol, Jean-Philippe Ecoffey.

Dans un couple, est-il nécessaire de toujours se dire la vérité ? Lorsqu’un mari ordonne à sa femme « Ne mens pas, dis-moi tout », ne prend-il pas un risque démesure ? Si le mensonge est odieux, la vérité est souvent insupportable. En amour, les maniaques de la franchise l’apprennent à leurs dépens : faute avouée est rarement pardonnée.

Il faut dire que les quatre personnages de cette comédie vont au-devant des ennuis : A est amoureux de B, puis s’éprend de C, alors que D a épousé C, qu’elle quittera pour A, et que D nouera une liaison avec B… C’est compliqué, compliqué comme la vie. Mais c’est aussi particulièrement bien observé. Et tendre. Et drôle.

Oh, bien sûr… on a déjà entendu, au théâtre, ces dialogues terriblement modernes issus d’un langage calé dans son époque, un peu « mode », qui, sans doute, dans une cinquantaine d’années, semblera démodé au dernier degré. Il n’empêche : au jour d’aujourd’hui, on s’amuse beaucoup, et tant pis pour une aléatoire postérité. On éprouve le même plaisir que devant les spectacles de Jean-Pierre Bacri et Agnès Jaoui ( Cuisine et dépendances, Un air de famille ) auxquels la pièce de Patrick Marber s’apparent un peu : tous ces acteurs ont été nourris a la même Blédine. En plus celui-là est né à Londres : il manie donc le temps, l’action et le lieu comme seul un Anglais sait le faire. En y ajoutant les possibilités modernes d’Internet, avec le vocabulaire cru et direct employé entre eux par les correspondants. Puisqu’il est beaucoup question de vérité dans cette pièce, qui oserait nier que tout intemaute n’a pas un peu navigué, un jour ou l’autre, dans les pages roses de l’ordinateur?

Dirigés avec intelligence et tendresse par Patrice Kerbrat, les quatre comédiens rivalisent de talent : Jean-Philippe Ecoffey (par moments bouleversant), Anne Brochet, Caroline Sihol et Gad Elmaleh. Tous les quatre sont drôles et émouvants.

Une soirée plaisante, légère et un peu grave. On ne rencontre pas cela tous les soirs !

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Thomas

L’enfance nue de Thomas Bernhard

Théâtre de la Croix Rousse / du 3 au 7 novembre 2015

Ce sont de petits bijoux que Christiane Ghanassia a traduits et adaptés : de courts récits autobiographiques de Thomas Bernhard publiés entre 1975 et 1982. Où il est question de la douloureuse enfance du futur écrivain : l’internat, la guerre, la maladie, la mort aussi, de celui qui l’a élevé et dont il était très proche, son grand père. L’ensemble donne bien sûr des clés pour comprendre la misanthropie qui parcourt l’œuvre de l’Autrichien. Mais aussi son goût pour les situations soliloquées.

Dans sa nouvelle création, Gilles Pastor, qui avait signé l’an dernier un très intelligent Affabulazione, égrène ainsi cinq monologues portés par un maitre du genre, Jean-Marc Avocat, dont la voix à la fois caverneuse et douce s’accorde parfaitement avec ces écrits dépourvus de cynisme mais pas de gravité. Le travail sur la vidéo, dont Pastor est un habitué, est fort à propos également, avec de grandes vues sur les Alpes qui accentuent notamment ce sentiment de solitude dont il est question dans la deuxième partie, consacrée à l’internat.

Dans des dortoirs «crasseux et puants», Bernhard est «naturellement» préoccupé par le suicide, fil rouge du spectacle, seul échappatoire à la déréliction ambiante. La guerre est ainsi racontée du point de vue de l’adolescent qu’il était, en évoquant le bruit traumatisant des bombes et la main d’un enfant arrachée pendant que,  sur l’écran, Gilles Pastor projette un glacier qui s’effondre. Il ne tombe pour autant jamais dans le nihilisme d’un écrivain qui, bien que né dans une époque de grand chaos affirme : «Nous ne tenons pas à la vie mais nous ne la bradons pas à un prix dérisoire.»

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